Mardi 4 décembre, 18 H30, à l’exception du président, retardé par les gilets jaunes (?), presque tous les membres de l’Institut de Coopération avec l’Europe Orientale qui avaient annoncé leur venue sont arrivés. Notons que sur les 23 membres du Conseil d’Administration, 18 participeront à l’assemblée générale et que sur les 11 membres du Bureau d’ICEO, 9 seront présents. À 18 H45, pour ne pas perdre de temps, en attendant  le président, Jean-Marie, vice-président, entame la séance.

N° 016 Assemblée générale d’ICEO

Pour la première fois la réunion, suivie d’un dîner, a eu lieu à La Faluche, restaurant qui fait face à la Faculté de Pharmacie de Montpellier, là où précisément, en décembre 1989, une poignée de gens de bonne volonté a décidé de créer un institut de coopération avec les pays de l’Est.

Jean et Jean tournent leur regard sombre vers la porte d’entrée !

Exposé liminaire du vice-président, Jean-Marie.

À 19 H05, le Bureau est au complet,  tous les participants qui avaient annoncé leur venue sont arrivés, la partie statutaire de l’ordre du jour peut  enfin être abordée rapidement, rapport moral du président et rapport financier du trésorier.

Jean-Marie termine son exposé liminaire, avant de laisser la parole au président et au trésorier.

ICEO a tout pour organiser des conférences-débats géopolitiques de haute tenue, permettant d’éclairer vraiment l’avenir.

Vers 20 heures, après que Jean-Marie a longuement rendu compte des dossiers dont il est en charge, trilinguisme, Monténégro, arrive l’heure de passer à table. Sur les 32 personnes ayant assisté à l’assemblée générale, 30 restent pour dîner. 10 personnes partagent la table du président, 8 celle du secrétaire général, et 9 celle du vice-président, Jean-Marie. 

À la table du vice-président les convives ont demandé s’il était possible  que l’Association organise un voyage-mission au Monténégro pour les adhérents d’ICEO, leurs conjoints et leurs amis. Jean-Marie donne sa réponse à toute l’assemblée.    

22 heures, le moment de se séparer est arrivé.

Honneur à la vieille garde !

Vive la relève, honneur à la jeune garde !

La « sainte » trinité sans l’immaculée conception !

Un grand merci  à La Faluche, merci Pierrette et merci Philippe !

Un grand merci à Andyne et Gérard pour leur délicate attention. De ICEO à Hissez O.

[Le 13 décembre 2018, 12 H30, Ch. D, Piriac] : Après lecture de votre article, « N° 011 Et si les salariés se révoltaient ? », j’ai couru acheter le livre, que j’ai commencé à lire avec grand plaisir. Bon courage pour votre travail vers les trente ans ! Bien amicalement.