N° 234 Le pacifisme, les communistes ils ont toujours eu çà dans le sang, des autres !

Contre le racisme et les violences policières

Le maire de Stains : «Cette fresque est une expression artistique et pacifiste »

Les sectateurs de LÉNINE et de TROTSKI voudraient nous faire croire qu’ils sont en voie de rédemption.

On note avec un grand étonnement, qu’au premier rang de ceux qui s’indignent et condamnent les violences policières se trouvent des militants politiques qui ont reçu le plus clair de leur formation dans diverses chapelles trotskistes ou au parti communiste français.

On ne sait si on doit se féliciter, de ce qui ressemble à une soudaine rédemption, ou si on doit dénoncer une incroyable supercherie.

Lorsque le maire de Stains se prétend résolument pacifiste, on a le plus grand mal à le croire. À moins bien sûr que ce communiste pacifiste n’ait été frappé d’une soudaine amnésie.

On peut d’autre part être légitimement inquiet,  les périodes de pacifisme du Parti communiste français, ayant été annonciatrices des plus grands drames de l’Histoire.

Moscou, le 28 septembre 1939, autour de STALINE (au centre), à gauche RIBBENTROP, à droite MOLOTOV.

Quand on a eu, et souvent conservé, comme maîtres à penser LÉNINE et TROTSKI, quand on gardé pour modèles la révolution française et la révolution bolchevique, il faut être sacrément culotté pour oser  se faire passer pour un défenseur exemplaire des droits de l’homme, particulièrement qualifié pour  dénoncer les inexcusables violences policières.

Par Le Figaro avec AFP, publié le 22 juin 2020

Une fresque à Stains inaugurée récemment en présence du maire «contre le racisme et les violences policières», représentant les visages d’Adama TRAORÉ et de George FLOYD, a suscité la colère d’un syndicat de police, qui appelle à manifester devant, lundi.

Réalisée par un collectif d’artistes locaux, elle représente, sur un fond bleu agrémenté de nuages, les visages côte à côte de George FLOYD, mort lors de son interpellation aux États-Unis et d’Adama TRAORÉ, jeune homme noir mort en juillet 2016 après son interpellation par les gendarmes à Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise). Une phrase les surplombe: «Contre le racisme et les violences policières.»

Il s’agit d’une «ultime provocation par un élu de la République qui stigmatise les policiers», a dénoncé le syndicat Alliance 93 sur les réseaux sociaux, qui appelle à une «mobilisation» devant la fresque, lundi après-midi et demande «que la phrase soit repeinte». Cet appel a entraîné une réponse de la part du comité Adama, qui a également appelé à se rendre sur les lieux. «Effacer mon frère, recouvrir son visage, c’est nier son existence. (…) C’est profaner nos morts», s’est insurgée dimanche Assa TRAORÉ dans une vidéo en ligne.

Lors de l’inauguration de la fresque jeudi dernier, Assa TRAORÉ était présente aux côtés du maire (PCF), Azzédine TAÏBI, de cette ville populaire de Seine-Saint-Denis. «Cet appel au rassemblement (du syndicat Alliance, ndlr) est une menace à l’ordre public que je ne peux tolérer», a réagi dimanche Azzédine TAÏBI, faisant part de ses «inquiétudes quant aux risques de débordement».

«A Stains, nous avons toujours dénoncé les violences quelles qu’elles soient. (…) Pour autant nous ne cesserons pas de dénoncer les comportements inadmissibles de certains policiers qui outrepassent leurs droits», a-t-il affirmé dans un communiqué. «Cette fresque est une expression artistique et pacifiste » : le maire de Stains (PCF), en soutien et hommage à toutes les victimes de l’injustice», a-t-il encore estimé.

[Le 23 juin 2020, 12 H00, J. B., Millau] : Un petit peu d’anti-communisme, juste pour le plaisir de voir les bolchéviques s’offusquer.