N° 000 Étude du problème lié aux textes transmis par JMR

N° 000 Étude du problème lié aux textes transmis par JMR 2 (suite de JMR 1)

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N° 000 Étude du problème lié aux textes transmis par JMR 1

TITRE 2 gras Paragraphe copié phrase par phrase texte original word

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TITRE 2 gras copie du paragraphe sur l’écran illustration

Toutes ces actions ont attiré les critiques du mouvement « #rezist », d’une bonne partie de la population, de l’opposition et du président de la république.

Elles ont engendré une nouvelle vague de manifestations qui se sont poursuivis plusieurs jours, notamment pendant les soirées, lorsque les gens avaient terminé leurs activités quotidiennes.

Parallèlement, d’importantes personnalités politiques et diplomatiques se sont prononcées, dès le début de février 2017, contre les projets de réforme législative soutenus par le gouvernement. Entre autres, l’ambassadeur des États-Unis en Roumanie, a déclaré que « nous ne considérons pas appropriée toute mesure qui affaiblit l’état de droit de la Roumanie” et que « toute proposition législative qui contredit la consolidation de l’état de droit affecte tous les Roumains, quelles que soient leurs préférences politiques ». Par ailleurs, l’ancien commissaire européen à l’élargissement de l’UE s’est dit abasourdi que le PSD, qui avait remporté les élections de 2016, se comporte comme si tout le pays lui appartenait et comme s’il essayait de couvrir plus d’un millier de politiciens qui avaient rempli leurs poches sur le dos des citoyens.

Le président de la Commission européenne de l’époque, et le premier vice-président ont publié une déclaration commune déclarant que «la lutte contre la corruption doit aller de l’avant et non être sapée ». Néanmoins, ils ont déclaré qu’ils suivaient  avec une grande inquiétude les développements de cette affaire en Roumanie. Toutes ces prises de position ont déterminé le premier ministre à envoyer une lettre aux dirigeants européens pour réitérer «le ferme engagement de toutes les institutions et décideurs de Roumanie à poursuivre la lutte contre la corruption».

Entre 20172020 alors que se sont succédé au pouvoir trois gouvernement PSD-ALDE, le mouvement « #rezist » est resté tous le temps aux créneaux, organisant des manifestations dans la rue chaque fois que les dirigeants adoptaient des mesures considérées comme contraires à l’état de droit, ou potentiellement dangereuses pour la démocratie.

TITRE 2 gras copie du paragraphe sur l’écran texte

Toutes ces actions ont attiré les critiques du mouvement « #rezist », d’une bonne partie de la population, de l’opposition et du président de la république.

Elles ont engendré une nouvelle vague de manifestations qui se sont poursuivis plusieurs jours, notamment pendant les soirées, lorsque les gens avaient terminé leurs activités quotidiennes.

Parallèlement, d’importantes personnalités politiques et diplomatiques se sont prononcées, dès le début de février 2017, contre les projets de réforme législative soutenus par le gouvernement. Entre autres, l’ambassadeur des États-Unis en Roumanie, a déclaré que « nous ne considérons pas appropriée toute mesure qui affaiblit l’état de droit de la Roumanie” et que « toute proposition législative qui contredit la consolidation de l’état de droit affecte tous les Roumains, quelles que soient leurs préférences politiques ». Par ailleurs, l’ancien commissaire européen à l’élargissement de l’UE s’est dit abasourdi que le PSD, qui avait remporté les élections de 2016, se comporte comme si tout le pays lui appartenait et comme s’il essayait de couvrir plus d’un millier de politiciens qui avaient rempli leurs poches sur le dos des citoyens.

Le président de la Commission européenne de l’époque, et le premier vice-président ont publié une déclaration commune déclarant que «la lutte contre la corruption doit aller de l’avant et non être sapée ». Néanmoins, ils ont déclaré qu’ils suivaient avec une grande inquiétude les développements de cette affaire en Roumanie. Toutes ces prises de position ont déterminé le premier ministre à envoyer une lettre aux dirigeants européens pour réitérer «le ferme engagement de toutes les institutions et décideurs de Roumanie à poursuivre la lutte contre la corruption».

Entre 2017–2020 alors que se sont succédé au pouvoir trois gouvernement PSD-ALDE, le mouvement « #rezist » est resté tous le temps aux créneaux, organisant des manifestations dans la rue chaque fois que les dirigeants adoptaient des mesures considérées comme contraires à l’état de droit, ou potentiellement dangereuses pour la démocratie.

TITRE 2 gras copie du paragraphe gris illustration

Elles ont engendré une nouvelle vague de manifestations qui se sont poursuivis plusieurs jours, notamment pendant les soirées, lorsque les gens avaient terminé leurs activités quotidiennes. Parallèlement, d’importantes personnalités politiques et diplomatiques se sont prononcées, dès le début de février 2017, contre les projets de réforme législative soutenus par le gouvernement. Entre autres, l’ambassadeur des États-Unis en Roumanie, a déclaré que « nous ne considérons pas appropriée toute mesure qui affaiblit l’état de droit de la Roumanie » et que « toute proposition législative qui contredit la consolidation de l’état de droit affecte tous les Roumains, quelles que soient leurs préférences politiques ». Par ailleurs, l’ancien commissaire européen à l’élargissement de l’UE s’est dit abasourdi que le PSD, qui avait remporté les élections de 2016, se comporte comme si tout le pays lui appartenait et comme s’il essayait de couvrir plus d’un millier de politiciens qui avaient rempli leurs poches sur le dos des citoyens.Le président de la Commission européenne de l’époque, et le premier vice-président ont publié une déclaration commune déclarant que «la lutte contre la corruption doit aller de l’avant et non être sapée ». Néanmoins, ils ont déclaré qu’ils suivaient avec une grande inquiétude les développements de cette affaire en Roumanie. Toutes ces prises de position ont déterminé le premier ministre à envoyer une lettre aux dirigeants européens pour réitérer «le ferme engagement de toutes les institutions et décideurs de Roumanie à poursuivre la lutte contre la corruption». Entre 20172020 alors que se sont succédé au pouvoir trois gouvernement PSD-ALDE, le mouvement « #rezist » est resté tous le temps aux créneaux, organisant des manifestations dans la rue chaque fois que les dirigeants adoptaient des mesures considérées comme contraires à l’état de droit, ou potentiellement dangereuses pour la démocratie.

TITRE 2 gras copie du paragraphe gris texte

Elles ont engendré une nouvelle vague de manifestations qui se sont poursuivis plusieurs jours, notamment pendant les soirées, lorsque les gens avaient terminé leurs activités quotidiennes.
Parallèlement, d’importantes personnalités politiques et diplomatiques se sont prononcées, dès le début de février 2017, contre les projets de réforme législative soutenus par le gouvernement. Entre autres, l’ambassadeur des États-Unis en Roumanie, a déclaré que « nous ne considérons pas appropriée toute mesure qui affaiblit l’état de droit de la Roumanie » et que « toute proposition législative qui contredit la consolidation de l’état de droit affecte tous les Roumains, quelles que soient leurs préférences politiques ». Par ailleurs, l’ancien commissaire européen à l’élargissement de l’UE s’est dit abasourdi que le PSD, qui avait remporté les élections de 2016, se comporte comme si tout le pays lui appartenait et comme s’il essayait de couvrir plus d’un millier de politiciens qui avaient rempli leurs poches sur le dos des citoyens.
Le président de la Commission européenne de l’époque, et le premier vice-président ont publié une déclaration commune déclarant que «la lutte contre la corruption doit aller de l’avant et non être sapée ». Néanmoins, ils ont déclaré qu’ils suivaient avec une grande inquiétude les développements de cette affaire en Roumanie. Toutes ces prises de position ont déterminé le premier ministre à envoyer une lettre aux dirigeants européens pour réitérer «le ferme engagement de toutes les institutions et décideurs de Roumanie à poursuivre la lutte contre la corruption».
Entre 2017-2020 alors que se sont succédé au pouvoir trois gouvernement PSD-ALDE, le mouvement « #rezist » est resté tous le temps aux créneaux, organisant des manifestations dans la rue chaque fois que les dirigeants adoptaient des mesures considérées comme contraires à l’état de droit, ou potentiellement dangereuses pour la démocratie.

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Elles ont engendré une nouvelle vague de manifestations qui se sont poursuivis plusieurs jours, notamment pendant les soirées, lorsque les gens avaient terminé leurs activités quotidiennes.

Parallèlement, d’importantes personnalités politiques et diplomatiques se sont prononcées, dès le début de février 2017, contre les projets de réforme législative soutenus par le gouvernement. Entre autres, l’ambassadeur des États-Unis en Roumanie, a déclaré que « nous ne considérons pas appropriée toute mesure qui affaiblit l’état de droit de la Roumanie » et que « toute proposition législative qui contredit la consolidation de l’état de droit affecte tous les Roumains, quelles que soient leurs préférences politiques ». Par ailleurs, l’ancien commissaire européen à l’élargissement de l’UE s’est dit abasourdi que le PSD, qui avait remporté les élections de 2016, se comporte comme si tout le pays lui appartenait et comme s’il essayait de couvrir plus d’un millier de politiciens qui avaient rempli leurs poches sur le dos des citoyens.

Le président de la Commission européenne de l’époque, et le premier vice-président ont publié une déclaration commune déclarant que «la lutte contre la corruption doit aller de l’avant et non être sapée ». Néanmoins, ils ont déclaré qu’ils suivaient  avec une grande inquiétude les développements de cette affaire en Roumanie. Toutes ces prises de position ont déterminé le premier ministre à envoyer une lettre aux dirigeants européens pour réitérer «le ferme engagement de toutes les institutions et décideurs de Roumanie à poursuivre la lutte contre la corruption».

Entre 20172020 alors que se sont succédé au pouvoir trois gouvernement PSD-ALDE, le mouvement « #rezist » est resté tous le temps aux créneaux, organisant des manifestations dans la rue chaque fois que les dirigeants adoptaient des mesures considérées comme contraires à l’état de droit, ou potentiellement dangereuses pour la démocratie.

TITRE 2 gras copie de phrases en gris texte

Elles ont engendré une nouvelle vague de manifestations qui se sont poursuivis plusieurs jours, notamment pendant les soirées, lorsque les gens avaient terminé leurs activités quotidiennes.
Parallèlement, d’importantes personnalités politiques et diplomatiques se sont prononcées, dès le début de février 2017, contre les projets de réforme législative soutenus par le gouvernement. Entre autres, l’ambassadeur des États-Unis en Roumanie, a déclaré que « nous ne considérons pas appropriée toute mesure qui affaiblit l’état de droit de la Roumanie » et que « toute proposition législative qui contredit la consolidation de l’état de droit affecte tous les Roumains, quelles que soient leurs préférences politiques ». Par ailleurs, l’ancien commissaire européen à l’élargissement de l’UE s’est dit abasourdi que le PSD, qui avait remporté les élections de 2016, se comporte comme si tout le pays lui appartenait et comme s’il essayait de couvrir plus d’un millier de politiciens qui avaient rempli leurs poches sur le dos des citoyens.
Le président de la Commission européenne de l’époque, et le premier vice-président ont publié une déclaration commune déclarant que «la lutte contre la corruption doit aller de l’avant et non être sapée ». Néanmoins, ils ont déclaré qu’ils suivaient avec une grande inquiétude les développements de cette affaire en Roumanie. Toutes ces prises de position ont déterminé le premier ministre à envoyer une lettre aux dirigeants européens pour réitérer «le ferme engagement de toutes les institutions et décideurs de Roumanie à poursuivre la lutte contre la corruption».
Entre 2017-2020 alors que se sont succédé au pouvoir trois gouvernement PSD-ALDE, le mouvement « #rezist » est resté tous le temps aux créneaux, organisant des manifestations dans la rue chaque fois que les dirigeants adoptaient des mesures considérées comme contraires à l’état de droit, ou potentiellement dangereuses pour la démocratie.

TITRE Comparaison image paragraphe et image phrases

Paragraphe tout gris et phrases en gris et entre les phrases espace blanc

[Le 30 avril 2021, 12 H00, P. C., Notre-Dame de la Rouvière] :  Bizarre !