N° 481 Les féministes doivent d’urgence enfin ouvrir les yeux.

L’obscurantisme et la violence ne cessent de progresser en Europe, en Allemagne et en France en particulier. Les femmes et les filles sont les premières victimes de cette situation. L’Europe des Lumières s’éteint.

Lorsque des faits strictement similaires, dits faits divers, s’enchainent, se multiplient, et se banalisent, à moins de refuser délibérément de voir la réalité, il est impossible de ne pas s’interroger sur les causes profondes de l’évolution des mœurs de la société dans laquelle on vit.

Depuis plus de 30 ans, pour ne pas discriminer les étrangers récemment arrivés en France, pour ne surtout « pas faire le jeu du Front national », une large majorité de journalistes a continûment refusé d’établir une corrélation entre délinquance et immigration.

En février 2024, le ministre de l’intérieur, Gérard DARMANIN, lui, n’a pas hésité a déclarer : « Sur certains crimes et délits, meurtres, tentatives de meurtre, agressions sexuelles, viols, les violences aux personnes en fait, il y a une surreprésentation des étrangers. » (sic) et d’ajouter : « Mon honnêteté me pousse à dire que ce sont les mêmes statistiques pour les victimes. (resic) Les étrangers, pour faire vite, c’est 10 % de la population française, un peu moins,50 % des faits, crimes et délits de violences aux personnes, et 50 % des victimes. D’abord, la première violence est intracommunautaire. Elle est entre eux et parce qu’elle est parfois très culturelle. »

Une première violence intracommunautaire

Les premières victimes de la délinquance immigrée sont effectivement les immigrés eux-mêmes et leurs enfants.

Parmi les victimes des violences intracommunautaires, les femmes qui ne veulent être ni putes ni soumises sont les plus importunées, voire les plus violentées.

En France, en Allemagne, et partout en Europe où les islamistes ont réussi à imposer leurs lois, et font la police de la pensée et des mœurs, les femmes et les filles dès leur plus jeune âge, sont forcées d’obéir à leurs injonctions.

Pour les filles, une bonne scolarisation est le meilleur gage de leur réussite sociale et de leur épanouissement personnel, c’est pourquoi les islamistes et leurs fils n’ont de cesse de tout faire pour contrarier leur volonté et leur possibilité de s’émanciper.

Alors que les féministes prétendaient et prétendent toujours défendre le droit des femmes à disposer d’elles-mêmes, en commençant par leur corps, la plupart d’entre elles restent étrangement muettes face aux violences morales et physiques, que les partisans de la charia font subir aux femmes, en commençant par leurs épouses, leurs filles, et leurs voisines.

Étonnement, les féministes qui revendiquent farouchement la parité, ne trouvent rien à redire au droit d’héritage prévu pour les femmes dans la plupart des pays musulmans.

Les féministes seraient bien inspirées de revenir à leurs préoccupations d’origine : défendre les droits et la dignité de toutes les femmes, quelle que soit la culture à laquelle elles semblent assignées.

Comme le déclara Élisabeth BADINTER en janvier 2016 sur France inter : « Il ne faut pas avoir peur de se faire traiter d’islamophobe », surtout si on s’affiche féministe.

Les quatre articles ci-dessous, celui du Spiegel , du Figaro, du Courrier des Balkans, et celui du MENA, illustrent ces quelques lignes.

L’obscurantisme et la violence ne cessent de progresser en Europe, en Allemagne, en France, et dans les Balkans en particulier. Les femmes et les filles sont les premières victimes de cette situation.

Il est urgent d’agir avant que l’Europe des Lumières ne souffle son dernier soupir.

Polizeiliche Kriminalstatistik 2023 Bundeskriminalamt erklärt Anstieg bei Straftaten mit Corona, Inflation und Zuwanderung

Die Polizei hat in Deutschland so viele Straftaten registriert wie seit 2016 nicht mehr.

Bundesinnenministerin Nancy FAESER hat die Polizeiliche Kriminalstatistik (PKS) des Bundeskriminalamts für das Jahr 2023 vorgestellt.

Begrenzte Aussagekraft der PKS

Während die Zahl der deutschen Verdächtigen innerhalb eines Jahres um ein Prozent auf etwa 1,32 Millionen anstieg, wuchs die Zahl der nicht deutschen Tatverdächtigen um 17,8 Prozent auf rund 923.000 an. Der Anteil nicht deutscher Verdächtiger an allen Verdächtigen nahm um 3,7 Prozentpunkte zu und lag bei 41,1 Prozent.

Das Dunkelfeld kann, abhängig vom Delikt, beträchtlich sein. So werden grob zwei Drittel aller Körperverletzungen nicht angezeigt, und über 90 Prozent aller Sexualdelikte. Auch Taten, bei denen die Täter aus dem Ausland agieren, tauchen in der PKS nicht auf, ebenso wie politisch motivierte Kriminalität.

Statistiques policières sur la criminalité en 2023. Selon l’Office fédéral de la police criminelle l’augmentation des délits est due au coronavirus, à l’inflation et à l’immigration.

Article intégral en allemand publié le 9 avril 2024

Extraits traduits

La police a enregistré plus de délits en Allemagne que jamais depuis 2016.

La ministre fédérale de l’Intérieur, Nancy FAESER, a présenté la statistique policière de la criminalité (PKS) de l’Office fédéral de la police judiciaire pour 2023.

Valeur informative limitée du PKS

Alors que le nombre de suspects allemands a augmenté de 1 pour cent pour atteindre environ 1,32 million en un an, le nombre de suspects non allemands a augmenté de 17,8 pour cent pour atteindre environ 923 000. La proportion de suspects non allemands parmi l’ensemble des suspects a augmenté de 3,7 points pour atteindre 41,1 pour cent.

Selon le délit, le nombre de cas non signalés peut être considérable. Environ deux tiers de toutes les blessures physiques ne sont pas signalées, et plus de 90 pour cent de tous les crimes sexuels ne sont pas signalés. Les crimes dont les auteurs sont étrangers ne figurent pas dans le PKS, pas plus que les crimes « politiques ».

«Dans certains quartiers, les filles se voient reprocher tout succès scolaire trop affiché»

Publié le 17 avril 2024 dans Le Figaro

«Au sein de l’école de la République, on peut aujourd’hui empêcher impunément une jeune fille de vivre librement sa vie intellectuelle», estime le linguiste Alain BENTOLILA 

TRIBUNE – Ceux qui veulent soumettre les jeunes filles à une police des mœurs en France ne s’attaquent pas uniquement à leur tenue vestimentaire ou à leur comportement avec les garçons, mais aussi à leur volonté de s’émanciper par l’école et les études, s’inquiète le linguiste.

*Dernier ouvrage paru : Controverses sur la langue française. 51 vérités contre l’hypocrisie et la démagogie (ESF sciences humaines, 2024).

Certaines filles de ce pays sont aujourd’hui menacées par une police des mœurs qui, dans la famille mais aussi à l’école, fait appliquer ses règles viriles en matière de comportements sociaux et religieux mais aussi… de modalités d’apprentissage : « Tu vas à l’école mais fais-en sorte de ne pas trop montrer ton désir d’apprendre ; si tu ne portes pas le voile, tâche d’exhiber le moins possible tes “appas” ; évite toute singularité linguistique, tout comportement culturel étranger à la norme tribale ; et surtout veille à soumettre tes fréquentations à l’autorité fraternelle ou paternelle. » Ce contrôle insidieux et parfois brutal engendre des représailles qui ont récemment coûté la vie à des enfants de 15 ans coupables d’avoir désobéi aux règles archaïques.

Parmi les jeunes que des années de ghettoïsation ont cruellement privés du pouvoir de comprendre et de se faire comprendre, beaucoup exhibent leurs insuffisances langagières et leur enfermement culturel comme un signe d’appartenance tribale alors qu’ils ne sont que le résultat d’une injustice sociale inacceptable. Certains en viennent à considérer le choix d’un mot un peu rare, ou la lecture d’un livre, comme la manifestation d’une trahison culturelle et sociale, et souvent comme un aveu de féminité suspecte.

L’affirmation d’une virilité triomphante se révèle donc dans l’usage d’un vocabulaire pauvre interdit de toute nuance et dans le rejet de notre patrimoine culturel et historique.

Il n’est donc pas étonnant que, dans ces lieux d’enfermement soumis à la loi virile, ce soient d’abord les filles qui se voient reprocher tout succès scolaire trop affiché, tout comportement social non conforme, tout marqueur linguistique exogène.

Dans un contexte de fracture culturelle, les filles payent très cher la supériorité de leurs performances scolaires qui n’a cessé de s’accentuer année après année, notamment en français.

Dans un contexte de fracture culturelle, les filles payent en effet très cher la supériorité de leurs performances scolaires qui n’a cessé de s’accentuer année après année, notamment en français. À 17 ans, la différence était en 2022 de plus de 4 points entre jeunes gens et jeunes filles en situation d’illettrisme. En 2024, l’étude du Centre national du livre révèle que les filles lisent plus de 23 minutes par jour alors que les garçons culminent à 6 minutes. Le crédit que beaucoup de filles accordent aux activités intellectuelles que sont la lecture et l’écriture « longues », leur ouverture aux valeurs culturelles communes les rendent ainsi suspectes de « collaboration » et de trahison.

Elles doivent donc être surveillées et, de temps en temps, « mises au pas ». Féminité et « intellectualité » sont, au sein même de certains établissements scolaires, l’objet d’un même mépris. De jeunes françaises – notamment celles qui sont « issues de l’immigration » – se retrouvent ainsi parfois embrigadées dans un combat qui n’est pas vraiment le leur.

Elles sont sommées de choisir leur camp culturel et linguistique alors que, pour la plupart d’entre elles, la question prioritaire est de pouvoir exercer leur libre arbitre intellectuel et physique.

Appelées à une solidarité communautaire dont elles savent qu’elle menace en fait leur autonomie de penser et d’agir, beaucoup sont ainsi condamnées à suivre une « scolarité de contrebande » : elles doivent jouer au plus près avec les règles implicites de la tribu, en tentant d’éviter à la fois un échec scolaire définitif et les sanctions qu’une réussite trop brillante risquerait de leur valoir…

Au sein de l’école de la République, on peut aujourd’hui empêcher impunément une jeune fille de vivre librement sa vie intellectuelle, en lui opposant une force virile et obtuse qui veille à ce que les lois linguistiques et culturelles de la tribu soient ostensiblement respectées.

Voilà ce que raconte L., qui s’exprimait en 2018 dans un débat organisé par l’association Ni putes ni soumises.

« Pour nous, c’est une question de survie ! C’est pas que nos vies soient en danger, physiquement, tous les jours. Encore que… Non ! La question, c’est : comment s’en sortir sans y laisser trop de larmes ? Si on la joue trop “bonne élève” qui fait ses devoirs, qui lit – comme moi j’aime lire -, qui pose des questions, alors on passe pour une renégate. C’est presque comme si on avait trahi. Alors, pour pas avoir d’ennuis, on se fait pas remarquer. On montre juste ce qu’il faut pour que les profs, ils sachent qu’on est là et qu’on se laisse pas couler. Mais ils sont pas beaucoup à comprendre ce qu’on vit ; ils pensent juste que c’est notre niveau, qu’on pourrait pas faire mieux. (…) Je te prends l’exemple : l’autre jour, je suis dans la cour, tranquille en train de lire un bouquin – je crois que c’était L’Étranger. J’aime bien, ça me rappelle l’Algérie. C’est marrant que je dise “ça me rappelle” vu que j’y ai jamais mis les pieds, en Algérie. Bon ! Enfin, je suis cool, à lire ; j’emmerde personne et ils arrivent à trois : “Et pour qui tu te prends ? Et qu’est-ce que tu as à nous regarder comme ça ?” Moi, je les connais, et je sais que si je réponds, ça va mal aller pour moi. Je continue à lire. Y en a un qui me pousse, un autre qui me prend le bouquin et ils commencent à se le jeter en pleine cour jusqu’à ce que les pages s’en aillent l’une après l’autre. Moi, ça m’a rendue folle ! Je les aurais tués. Mais quoi ! J’ai juste ramassé les pages et j’ai fermé ma gueule. Mais je pensais en moi-même : “Putain ! c’est ça l’école ?”… »

Au sein de l’école de la République, on peut donc aujourd’hui empêcher impunément une jeune fille de vivre librement sa vie intellectuelle, en lui opposant une force virile et obtuse qui veille à ce que les lois linguistiques et culturelles de la tribu soient ostensiblement respectées.

Si nous nous révélons incapables de protéger efficacement des filles qui veulent faire honnêtement leur métier d’élève mais aussi vivre librement leur vie de femme, si nous abandonnons le terrain scolaire à l’inculture et au sexisme, alors il faut bien comprendre que nous vidons de son sens la notion de parité et de laïcité.

L’école laïque ne peut pas se contenter de présenter une façade propre et nette. Elle ne peut pas se satisfaire, n’en déplaise à nos batteurs d’estrade, d’être une école « dévoilée » qui se donne ainsi une apparence républicaine. La juste signification de l’interdiction du voile à l’école est que l’on a voulu garantir autonomie et libre arbitre aux filles de ce pays. L’école laïque, c’est l’école où les plus faibles et les plus fragiles sont accueillis et protégés ; celle où les filles qui entendent conjuguer goût d’apprendre et liberté d’agir doivent pouvoir réussir avec autant d’ostentation qu’elles le veulent et nouer des relations avec qui elles veulent sans craindre pour leur intégrité et parfois pour leur vie.

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Croatie : le crime de féminicide bientôt inscrit dans la loi / courrier des Balkans | article original

C’est un nouveau pas qui vient d’être franchi en Croatie : le gouvernement conservateur du Premier ministre Andrej PLENKOVIĆ a présenté au Parlement des amendements pour que le féminicide soit reconnu comme un crime spécifique. Le pays pourrait donc bientôt devenir le 3e membre de l’UE à légiférer ainsi après Chypre et Malte.

« Un message clair envoyé à la société : tuer des femmes et exercer des violences contre les femmes simplement parce qu’elles sont des femmes est inacceptable. » Voilà comment le Premier ministre Andrej PLENKOVIĆ a présenté le projet de loi sur lequel les députés du Sabor vont devoir se prononcer. Vu la large majorité dont y dispose son parti, l’Union démocratique croate (HDZ, droite conservatrice), il ne fait guère de doute que cette réforme sera adoptée.

Ce texte de loi va criminaliser spécifiquement les féminicides, qui seront désormais passibles d’une peine de prison de dix ans minimum. Mais ce n’est pas la seule avancée de cette réforme qui entend prévenir et condamner les violences contre les femmes. Conformément à la Convention d’Istanbul, la notion de violence sexiste à l’égard des femmes est ainsi introduite, considérée comme une circonstance aggravante lors de la commission d’un acte criminel.

Ces changements législatifs interviennent après des mobilisations massives, à la suite de plusieurs féminicides qui ont choqué la Croatie. La nouvelle loi a été préparée en collaboration avec des associations de défense des droits des femmes.

Les amendements à l’actuelle loi sur la protection contre les violences domestiques suppriment le délit de harcèlement sexuel et le transfèrent dans la sphère de la responsabilité pénale, les amendes pour délits sont alourdies et seules des peines de prison pourront être prononcées en cas de violation d’une ordonnance restrictive.

Une distance minimale de 100 mètres entre un suspect de violences conjugales est prescrite et en cas de violation de cette restriction, la police pourra arrêter l’agresseur présumé avant qu’un tribunal puisse se prononcer dans les 24h sur sa détention provisoire. La victime aura également le droit d’être accompagnée par une personne de confiance tout au long de la procédure.

Les peines de prison encourues seront en outre plus lourdes en cas de viol et de crimes contre la liberté sexuelle, mais aussi en cas d’abus sexuels sur un enfant. La nouvelle loi abolit enfin les délais de prescription pour la poursuite et la punition des crimes sexuels commis contre les enfants.

C’est un nouveau pas qui vient d’être franchi en Croatie : le gouvernement conservateur du Premier ministre Andrej PLENKOVIĆ a présenté au Parlement des amendements pour que le féminicide soit reconnu comme un crime spécifique. Le pays pourrait donc bientôt devenir le 3e membre de l’UE à légiférer ainsi après Chypre et Malte.

« Un message clair envoyé à la société : tuer des femmes et exercer des violences contre les femmes simplement parce qu’elles sont des femmes est inacceptable. » Voilà comment le Premier ministre Andrej PLENKOVIĆ a présenté le projet de loi sur lequel les députés du Sabor vont devoir se prononcer. Vu la large majorité dont y dispose son parti, l’Union démocratique croate (HDZ, droite conservatrice), il ne fait guère de doute que cette réforme sera adoptée.

Ce texte de loi va criminaliser spécifiquement les féminicides, qui seront désormais passibles d’une peine de prison de dix ans minimum. Mais ce n’est pas la seule avancée de cette réforme qui entend prévenir et condamner les violences contre les femmes. Conformément à la Convention d’Istanbul, la notion de violence sexiste à l’égard des femmes est ainsi introduite, considérée comme une circonstance aggravante lors de la commission d’un acte criminel.

Ces changements législatifs interviennent après des mobilisations massives, à la suite de plusieurs féminicides qui ont choqué la Croatie. La nouvelle loi a été préparée en collaboration avec des associations de défense des droits des femmes.

Les amendements à l’actuelle loi sur la protection contre les violences domestiques suppriment le délit de harcèlement sexuel et le transfèrent dans la sphère de la responsabilité pénale, les amendes pour délits sont alourdies et seules des peines de prison pourront être prononcées en cas de violation d’une ordonnance restrictive.

Une distance minimale de 100 mètres entre un suspect de violences conjugales est prescrite et en cas de violation de cette restriction, la police pourra arrêter l’agresseur présumé avant qu’un tribunal puisse se prononcer dans les 24h sur sa détention provisoire. La victime aura également le droit d’être accompagnée par une personne de confiance tout au long de la procédure.

Les peines de prison encourues seront en outre plus lourdes en cas de viol et de crimes contre la liberté sexuelle, mais aussi en cas d’abus sexuels sur un enfant. La nouvelle loi abolit enfin les délais de prescription pour la poursuite et la punition des crimes sexuels commis contre les enfants.

Le MENA Research Center est une organisation non partisane et non religieuse basée à Vienne, en Autriche. Elle a été fondée en 2018 et propose depuis au public des analyses, des reportages et des sujets clés sur la politique, la culture, l’économie, la religion et la société.

À une époque où les échanges culturels, politiques et sociaux sont plus importants que jamais dans une société multiculturelle en Europe, nos textes sont publiés en anglais, allemand, français et arabe. Ainsi, MENA Research Center souhaite contribuer à un échange vivant entre les cultures et les sociétés.

Le centre de recherche MENA se considère comme un multiplicateur européen pour une coexistence fructueuse de différentes cultures et sociétés en Europe, qui ont une chose en commun : respecter et vivre pour nos valeurs européennes, quelle que soit la religion ou le groupe culturel auquel appartient le citoyen.

Les constitutions et les lois en Europe sont la référence pour chaque personne en Europe ! Il est donc particulièrement important pour le MENA Research Center d’atteindre la population islamique, qui devient de plus en plus la cible de positions conservatrices et extrêmes. L’islamisme politique et l’influence des forces religieuses et nationalistes étrangères ne doivent pas avoir leur place en Europe. La religion est une affaire purement privée et ne doit pas devenir le jouet d’intérêts politiques et sociaux

[Le 18 avril 2024, 12 H00, J. M., Limoges ] : Article instructif, qui devrait pousser à une prise de conscience rapide de nos concitoyennes et de nos élus.