N° 428 Mort de Jean-Pierre ROQUES le 31 mars à l’âge de 78 ans.

Tous les amis qui ont connu Jean-Pierre ROQUES lorsqu’ils militaient à ses côtés au PS, au sein du courant CERES, peuvent lui dire avec beaucoup d’émotion :  « salut et fraternité, camarade ! ». Tous ceux qui sont devenus membre d’ICEO peuvent lui dire merci.

La rubrique la plus lue de la Presse Quotidienne Régionale vient d’apporter une preuve de plus de sa grande utilité sociale et sociétale. Sans l’avis de décès publié dans Midi-Libre le 3 avril, et sans la vigilance de ses vieux amis d’ICEO, la mort et les obsèques de Jean-Pierre ROQUES n’auraient probablement été sues de tous ceux qui l’avaient bien connu, qu’après son enterrement.

Jean-Pierre ROQUES, mort le vendredi 31 mars à l’âge de 78 ans

 Salut et fraternité, camarade !

En 2023, pour l’immense majorité des habitants de l’Hérault l’annonce de la mort de Jean-Pierre ROQUES est celle d’un illustre inconnu. Avec la disparition de l’ancien chef de cabinet de Gérard SAUMADE cet oxymore cesse d’être une simple figure de style.

En effet Jean-Pierre ROQUES a été illustre et en même temps inconnu, ou plus exactement méconnu.

Pendant plus de 30 ans, aux côtés de Gilbert SÉNÈS puis de Gérard SAUMADE, il s’illustra dans la guerre opposant le département de l’Hérault et la ville de Montpellier. Jean-Pierre ROQUES n’eut ainsi de cesse de répondre aux mauvais coups de Georges FRÊCHE par les mauvais coups, dont il avait reçu le secret des anciens militants de la SFIO.

Il est facile de comprendre que ceux qui ont eu à souffrir des mauvaises manières que le défunt leur a fait n’aient pas tenu à suivre son cercueil. Par contre, seule l’ingratitude, et la honte d’être socialiste aujourd’hui,  peuvent expliquer le silence qui fut fait lors des obsèques de Jean-Pierre ROQUES, sur son exceptionnel engagement au Parti socialiste.

Depuis la création de son site web, l’association  ICEO se fait un devoir de rendre des hommages très circonstanciés, à l’heure de leur mort, à ceux auxquels elle se doit de dire merci.

Parmi les premiers membres d’ICEO, peu avaient eu l’occasion de connaître personnellement Jean-Pierre ROQUES. Cependant, ceux qui, Héraultais, s’intéressaient de près à la politique, qu’ils soient de droite ou de gauche, ne pouvaient pas ne pas connaître son nom.

Aujourd’hui, seuls ses défauts, médiatisés par ses adversaires, restent connus. C’est donc le devoir de ceux qui lui sont redevables de dire pourquoi ils gardent pour lui beaucoup d’estime.

Cet article nécrologique, comme tous les articles de cette rubrique , a bien sûr pour objet de saluer la mémoire du défunt , mais aussi d’éclairer les jeunes lecteurs sur ce qu’ils n’ont pu connaître ni du défunt, ni de l’époque à la quelle il a vécu et agi.

 Jean-Pierre ROQUES et la France

Maire de Lavérune de 1977 à  1989,  Jean-Pierre ROQUES a toujours été proche de tous ses électeurs

Photo prise en 1985

 Jean-Pierre ROQUES et l’Espagne

 En Espagne, au royaume de la tauromachie, son royaume

 Les obsèques de Jean-Pierre ROQUES

 Au complexe funéraire de Grammont

 Au complexe funéraire de Grammont

Salut et fraternité, camarade ! 

Jean-Pierre ROQUES, le serviteur « très » zélé de Gérard SAUMADE, a désormais rejoint son ami et son maître

Le Parti socialiste, le CERES et Jean-Pierre ROQUES

 1974 – 1992 : De l’espoir à la désespérance

Le général de GAULLE avait déclaré : « Je n’aime pas les communistes parce qu’ils sont communistes, et je n’aime pas les socialistes parce qu’ils ne sont pas socialistes. »

 

En 1966, en fondant le Centre d’études, de recherches et d’éducation socialiste (CERES), trois anciens élèves de l’ENA ont eu l’idée folle de faire de la SFIO, sortie totalement discréditée de la Guerre d’Algérie, un parti de masse, intelligent et honnête, un vrai Parti socialiste, capable d’arriver au pouvoir démocratiquement avec une gauche enfin unie.

Dans l’Hérault, le CERES et ses militants ont tout fait pour que François MITTERRAND arrive au pouvoir de façon on ne peut plus démocratique : pari réussi.

En France, le CERES et ses militants ont tout fait pour faire naître un parti de masse vraiment socialiste : pari manqué.

On peut voir  sur les tableaux ci-dessus que lorsque les membres fondateurs du CERES ont pris leur carte à la SFIO, en 1966, la vieille maison de Léon BLUM était en train de s‘écrouler. Ceci était d’autant plus vrai que, comme pour toutes les vieilles bâtisses, la façade ne disait rien de l’état des murs porteurs. On sait en effet que les chiffres annoncés sont très souvent mensongers.

En 1969, au premier tour des élections présidentielles le candidat qui portait les couleurs de la SFIO, Gaston DEFFERRE, faillit ne pas recueillir le minimum requis pour avoir droit au remboursement de ses frais de campagne [5 %]. Les socialistes pensaient alors avoir touché le fond.

En mai 19974, lorsque le tout nouveau Premier secrétaire du Parti socialiste, François MITTERRAND, échoua de peu à 49,2 %, améliorant son score de 1965, proche de 45 %, réalisé face au Général de GAULLE, l’espoir revint fortement chez les sympathisants de gauche, et un grand engouement pour le Parti socialiste prit naissance, provoquant une vague d’adhésion d’autant plus conséquente que les militants du PSU les plus pressés d’arriver aux affaires décidèrent eux aussi d’adhérer au PS.

C’est précisément en octobre 1974 que la section unique de Montpellier vit affluer un nombre considérable de nouveaux adhérents, une affluence telle que la division de l’ancienne section en 7 sections nouvelles fut décidée.

En 1974, sauf à Béziers et Montpellier, la gauche en général et le PS particulièrement avait réussi à prendre les leviers du pouvoir dans le département de l’Hérault,  depuis des années, sans avoir attendu le CERES. La liste des barons anciens et des barons futurs du PS établie en 1974 est impressionnante :

Jean BÈNE [1901-1992], président du Conseil général de 1945 à 1979, Charles ALLIÈS [1903-1988], Jean PÉRIDIER [1909-1982], 2 sénateurs sur 3, Raoul BAYOU [1914-1995], Gilbert SÉNÈS [1915-1996], Georges FRÊCHE [1938-2010], 3 députés sur 5,  et Gérard SAUMADE [1926-2012], conseiller général. En regardant la biographie de ces élus on peut noter qu’au XXe siècle, non seulement le cumul des mandats n’étaient pas interdit mais qu’il était largement généralisé, presque la règle.

Dans l’Hérault, en arrivant au PS, les nouveaux adhérents découvrirent une situation paradoxale. Alors qu’ils pensaient venir aider des responsables politiques aspirant à prendre le pouvoir au niveau national, ils comprirent vite qu’ils rejoignaient une équipe d’élus dont la principale préoccupation était de ne pas perdre le pouvoir au niveau local.

En 1967, pour arriver à déloger Paul COSTE-FLORET de la IIe circonscription législative de l’Hérault, Gilbert SÉNÈS, maire de Gignac (19651989), constitua une équipe choc dont de nombreux membres venaient des assurances mutuelles agricoles (futur Groupama). C’est comme cela que Jean-Pierre ROQUES est entré en politique, c’est comme cela qu’il a mis ses talents au service de Gilbert SÉNÈS, et de Gérard SAUMADE.

Jean-Pierre ROQUES fut un homme d’une grande loyauté. C’est pourquoi, bien qu’il ait été souvent très proche des positions du CERES, il n’en faisait que très rarement état, pour ne pas s’opposer publiquement aux élus dont il était le collaborateur.

Jean-Pierre ROQUES fut un ami d’une grande fidélité. Les anciens militants du CERES, qui ont participé à la création d’ICEO peuvent en témoigner.

Dans l’Hérault, le CERES ne sortit réellement de la confidentialité que lors de la rentrée universitaire de 1974.  C’est en janvier 1975, au bar le Napoléon (aujourd’hui l’Opéra) 82 rue figuerolles, que les responsables du CERES de Montpellier, tout nouvellement investis, firent sérieusement connaissance de Jean-Pierre ROQUES, qui veillait ce soir là sur Gilbert SÉNÈS, comme il le faisait régulièrement depuis plusieurs années.

Jean-Pierre ROQUES fut un militant socialiste intransigeant, courageux et généreux, à l’égal des militants du CERES les plus investis. C’est sans doute pourquoi est née entre eux une estime réciproque.

Les quelques photos ci-dessous, qui ne représentent qu’une faible part des actions militantes entreprises par le CERES, ou réalisées avec l’aide du CERES, de 1974 à 1981, donnent cependant une idée du travail accompli pour arriver à porter au pouvoir les socialistes.

Certains regrettent aujourd’hui d’avoir fait ce travail : tout ça pour ça ?

Les sympathisants du CERES qui, ont fait naître et vivre ICEO, en transférant leur force militante, et les savoir-faire qu’ils avaient acquis au PS, n’ont pas à avoir ces états d’âme. Car, pour la majorité d’entre eux, les 17 années qu’ils ont passés au PS, leur ont permis de mieux connaître les vilénies et les grandeurs de la nature humaine, et surtout leur ont donné la chance de se faire des amis fidèles, solides et fiables.

 1981 – 26 avril – le candidat du PS :

7 505 960 voix [25,85 % des suffrages exprimés – 20,62 % des inscrits]

Jean-Pierre ROQUES et les anciens militants du CERES de l’Hérault y sont pour beaucoup.

 2022 – 10 avril – la candidate du PS :

   616 478 voix [1,75 % des suffrages exprimés – 1,26 % des inscrits]

Jean-Pierre ROQUES et les anciens militants du CERES de l’Hérault n’y sont pour rien.

 Narbonne – avril 1979 – 50e anniversaire de l’élection de Léon BLUM dans l’Aude

Hommage à Léon BLUM, député de Narbonne du 15 avril 1929 au 15 septembre 1940

Après avoir été député de la Seine du 16 novembre 1919 au 25 mai 1924

 Toulouse – octobre 1979 –  audition au tribunal correctionnel

Georges SUTRA de GERMA, Raoul BAYOU, Jean-Pierre VIGNAU, Gilbert SENÈS, et Daniel BEDOS

Gignac – 15 décembre 1979  – 55e anniversaire de la section socialiste

Dîner débat à Gignac, à 16 mois des élections présidentielles

Le dîner a un coût

 La parole a un prix

Gilbert SENÈS, le député maire de Gignac, un des éléphants socialistes de l’Hérault, sur ses terres

Pierre GUIDONI, un des meilleurs orateurs du CERES et du PS

Pour tous ceux qui l’ont bien connu, aucun doute, de dos c’est bien Jean-Pierre ROQUES

Le pouvoir vaut bien un poing levé

La force tranquille et souriante

Il n’est de socialisme que celui de la liberté

Il n’est de liberté que celle du socialisme

La mémoire est révolutionnaire

Le premier devoir du militant, comprendre pour faire comprendre

Montpellier – 1er mai 1981  – Meeting 9 jours avant l’élection de François MITTERRAND

Raoul BAYOU, François MITTERRAND, Georges FRÊCHE, et Gilbert SENÈS

Montpellier – 10 mai 1981  – élection de François MITTERRAND à la présidence

Le dimanche soir à 20 heures la place de la Comédie fut soudainement noire de monde.

En voyant les militants de la vingt cinquième heure voler au secours de la victoire sans vergogne :

Les plus lucides des artisans de l’arrivée au pouvoir de François MITTERRAND, pressentirent alors immédiatement qu’ils ne tarderaient pas à être bientôt déçus.

Montpellier – 6 janvier 1990  – ICEO rue d’Alco – reçu à  l’Hôtel du département de l’Hérault

C’est ici, dans le bureau du président  du Conseil général, que fut scellé le destin d’ICEO

 

15 décembre 1989 :

Assemblée constitutive d’ICEO

29 décembre 1989 – 4 janvier 1990 :

Mission en Roumanie -première mission d’ICEO -La veille du départ le président SAUMADE s’engage à financer les projets rapportés.

6 janvier 1990 :

Réunion dans le bureau du président du Conseil général de l’Hérault – Rapport de mission – présentation des trois projets qui seront validés.

8 janvier 1990 :

Déclaration de l’association ICEO à la préfecture de l’Hérault

16 mars 1990 :

Le docteur Vlad TICA est à Montpellier pour commencer ses études de spécialité en Gynécologie -Obstétrique. On peut trouver le récit détaillée de cette belle aventure dans l’article : N° 386 Du docteur Vlad TICA au professeur TICA, en passant par Montpellier, via ICEO.

27 mars 1998 :

ICEO a pu compter chaque année sur l’aide financière du Conseil général de l’Hérault, sans exception, durant la période où Gérard SAUMADE en assurait la présidence.

Personne ne saura si Jean-Pierre ROQUES y était pour quelque chose. Notre camarade ne nous l’a jamais dit, et nous ne lui avons jamais demandé. 

Montpellier – 1990 – 2014  Subventions du Conseil Régional du Languedoc-Roussillon

Les lecteurs qui connaissent peu ou pas ICEO, pourraient conclure que le CERES de l’Hérault (canal historique) et l’Institut de Coopération avec l’Europe Orientale ne firent, et ne font qu’un. Fort heureusement il n’en fut rien, et il n’en est rien.

Dès sa création, ICEO a eu la chance d’accueillir des adhérents ayant toutes les opinions politiques et religieuses.

Fier de cette large ouverture d’esprit, le premier président de l’Institut, le professeur Jean CASTEL, avait coutume de dire en souriant : « On trouve de tout à ICEO sauf des nazis et des staliniens mal repentis ».

D’où la devise de l’Institut :  « apprendre à se connaître pour savoir [pouvoir] se comprendre ».

ICEO a pu ainsi bénéficier du soutien financier de toutes les collectivités territoriales ayant leur hôtel à Montpellier, quels que soient leurs présidents.  Ce fut le cas notamment du Conseil Régional du Languedoc-Roussillon.

Le 17 décembre 1990, lettre du président Jacques BLANC au président de la Région de Cracovie

[Le 14 avril 2023, 18 H35, M. C., Montpellier] :  Bien reçu, merci. Aucun commentaire, rien à changer

[Le 14 avril 2023, 12 H15, P. B., Claret] :  Merci de cet article. Que de souvenirs ainsi rappelés. Jean Pierre ROQUES était un adversaire politique redoutable et respecté car respectant les autres. 

Le 14 avril 2023, 8 H20, J-M. M., Rodez] : Un an avant sa mort Jean-Pierre ROQUES a eu la grande tristesse de voir le parti auquel il avait tant donné, rejeté massivement par son électorat historique, dans l’Hérault et plus encore dans la région Languedoc Roussillon. Il n’y a pas besoin d’être un grand analyste en matière d’élection pour noter que les électeurs de la gauche unie de 1981 ont très majoritairement rejoint en 2022 le camp des abstentionnistes ou celui de la droite-extrême. La preuve par le tableau ci-joint:

[Le 14 avril 2023, 9 H00, L. C., Laguiole] :  Vous écrivez sous la photo prise en 1985Maire de Lavérune de 1977 à  1989,  Jean-Pierre ROQUES a toujours été proche de tous ses électeurs. On peut voir aussi qu’il était proche de la bouteille, comme le disaient ces nombreux ennemis.

D’autre part, je vous signale l’erreur qu’il y a dans l’article wikipedia concernant Lavérune :

1977

1985

6+2

Jean-Pierre Roques

DVG

 1989

1985

juin 1995

4+6

Jean-Louis Barral

 

 

[Le 13 avril 2023, 12 H00, J.-C.. G., Montpellier] : J’ai lu, avec le plus grand intérêt, l’article que vous consacrez à notre défunt camarade Jean-Pierre ROQUES. Sur la forme, je n’ai presque rien à redire. Histoire de chicaner un peu, je vous signale deux éléments qui peuvent être corrigés. Vous écrivez :  » ceux qui, héraultais… » ; dans cette phrase, héraultais n’est pas un adjectif et il faudrait donc écrire : Héraultais. Plus loin, vous écrivez :  » Jean-Pierre est rentré… » ce qui veut dire qu’il avait déjà été militant politique, qu’il était sorti puis qu’il est rentré. Il faut donc écrire : Jean-Pierre est  » entré en politique ».

Sur le fond, on pourrait ajouter qu’un article lui a été consacré, mais publié dans le Midi Libre du mardi 11 avril…alors que les obsèques ont eu lieu le 6/4. Article sur deux colonnes, mais en page 8, à la  rubrique  » Lavérune  » et sous le titre  » L’ancien maire Jean-Pierre ROQUES n’est plus « . L’article traite surtout de son action comme maire de Lavérune de 1977 à 1989. La seule allusion à son engagement est ce petit bout de phrase :  » Jean-Pierre, syndicaliste, militant à gauche et homme de conviction.. » C’est bien peu, même si est évoqué son rôle de collaborateur de SAUMADE. Le PS n’est pas évoqué …

[Le 12 avril 2023, 21 H45 J.-M. B., Tarbes] :  Je découvre à l’instant et avec bcp de tristesse le décès de Jean-Pierre ROQUES; Militant exemplaire nous le savons ; fidèle en engagement et en amitié; ce que je peux dire c’est qu’il s’est engagé très tôt auprès de MITTERRAND à partir de 1972; j’ai un souvenir personnel de lui  d’août 1974 : après la présidentielle MITTERRAND avait souhaité aller au Larzac ; c’était un 17 Aout, j’y étais depuis la veille comme bcp d’étudiants en cette période là; à l’époque j’étais dans ttes les strates gauchistes et soudain MITTERRAND débarque avec une petite cohorte flanqué et cornaqué par JP ROQUES et ils étaient pas nombreux à l’époque !,  on peut dire protégé par Jean-Pierre c’est là que j’ai fait connaissance avec lui et c’était chaud! ; et de fait il l’a tjs accompagné les dirigeants socialistes; il faut souligner le sens d’un engagement jamais démenti auprès de MITTERRAND; servir la cause et il ne courrait pas après les places; fidèle en amitié et à ses idéaux jusqu’au bout ! C’était aussi un militant très solidaire ! pas un homme d’argent ! je l’ai vu sortir des billets pour certains. il a été aussi chef de cabinet de SAUMADE pendant qques années, ne l’oublions pas et on peut dire aussi un ami et compagnon de route du CERES. Voilà ce qui me vient spontanément! Tout ce qui est écrit est juste. si on rajoute ; fidèle à ses amis, fidèle à ses convictions .

[Le 12 avril 2023, 18 H00, J. S., Nîmes] : Pour illustrer vos propos je vous invite à lire l’article de  Michel CRESPY  publié en 2012 (?) : Georges FRÊCHE vs GÉRARD SAUMADE : épisodes de la vie politique héraultaise

[Le 9 avril 2023, 12 H00, P. C., Notre-Dame de la Rouvière] : Toutes mes condoléances à la famille et aux proches de Jean-Pierre