N° 548 Avez-vous connu MENDÈS-FRANCE ? Alain DUHAMEL : Oui très bien connu même !

Sur RTL ce 8 septembre au matin, au micro de Thomas SOTTO, Alain DUHAMEL, le « pape » des chroniqueurs politique, a répondu à cette question : « Oui, très bien connu même ! ». –  Preuve de la modestie feinte de ce chroniqueur de cour, toujours loin des préoccupations du peuple.

La plupart des chroniqueurs politiques se contentent d’imiter les chroniqueurs hippiques. Ils ne font le plus souvent que donner le nom des vainqueurs des épreuves, une fois qu’elles sont terminées

De même qu’aucun chroniqueur hippique n’a jamais contribué réellement à favoriser l’amélioration de la race chevaline, aucun chroniqueur politique ne peut prétendre être à l’origine d’une quelconque amélioration de la vie politique en France.

Celui qui est considéré comme le pape des chroniqueurs politiques français ne fait pas exception. Alain DUHAMEL connaît tout des élections et de la vie politique, sous la Ve République, malheureusement on ne trouve pas dans ses innombrables interventions médiatiques la preuve d’une grande clairvoyance en matière de politique nationale et encore moins en matière de politique internationale.

Lorsqu’on l’entend se raconter en 2019 sur France culture dans une série en 5 épisodes intitulés, « très modestement », Duhamel avant Duhamel, on comprend vite qu’il s’est vu chroniqueur politique, dès sa naissance. Doté d’une exceptionnelle mémoire, il garde en mémoire tous les événements qu’il a vécu depuis son plus jeune âge. Du moins c’est ce qu’il tient absolument à faire savoir.

Malheureusement, aucun chroniqueur politique n’échappe à la subjectivité, ni aux souvenirs recomposés, de bonne ou de mauvaise foi. En 2025, il est très facile de faire illusion en parlant d’événements que de moins en moins de gens ont connus.

La langue française a longtemps été considérée comme l’une des plus précises, d’où son long usage en diplomatie. Il lui arrive malheureusement d’être prise en défaut. Avoir bien connu quelqu’un peut signifier, l’avoir approché longtemps, et/ou l’avoir approché intimement.

En entendant Alain DUHAMEL déclarer qu’il a « bien connu » l’ancien Président du Conseil, Pierre MENDÈS-FRANCE, seuls ceux qui n’ont pas vécu les évènements de mai 1968 peuvent être impressionnés.

Né le 31 mai 1940, en pleine débâcle, âgé de 18 ans l’année où fut fondée la Ve République, Alain DUHAMEL n’a pu, malheureusement pour lui, suivre de près que la fin de la carrière politique de Pierre MENDÈS-FRANCE, la période durant laquelle il eut pour principale préoccupation, et souvent la seule, de dénoncer la Constitution de la cinquième, après qu’il eut été un des rares responsables politique de la IVe République a avoir appelé à voter NON au référendum du 28 septembre 1958.

Sous la Ve République, Pierre MENDÈS-FRANCE ne redevint député, élu dans l’Isère, et non plus dans sa circonscription de l’Eure, que du 3 avril 1967 au 30 mai 1968.

Comme son modèle, Alain DUHAMEL gardait en 2015 une sainte horreur des référendums. Surtout ceux pour lesquels le peuple a, selon lui, mal voté. Exemple : « Dix ans après le vote contre le Traité Constitutionnel, la France est plus faible ».

Le 10 juillet 1940, ce n’est pas un référendum qui a mené à la fin de la IIIe République. Comment Pierre MENDÈS-FRANCE hier, et Alain DUHAMEL aujourd’hui peuvent-ils avoir oublié cela ?

Principe : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.

Né en 1907, mort en 1982, Pierre MENDÈS-FRANCE est unanimement reconnu aujourd’hui comme un des hommes d’État français ayant fait une des plus longues et des plus remarquables carrières politiques.

En 1924, dès l’âge de 17 ans, il s’engage en politique en rejoignant les mouvements étudiants d’opposition à l’extrême droite.

En 1932, à l’âge de 25 ans, dans une circonscription de l’Eure, il est élu député pour la première fois. De juin 1932 à décembre 1958, il sort vainqueur de toutes les élections législatives auxquelles il se présente, toujours dans ce département, toujours dans la même circonspection.

Après la Libération, son attitude courageuse pendant la guerre lui vaut l’estime des résistants et des combattants de la France libre, dont celle du premier d’entre eux, le général de GAULLE.

Avant la guerre, pendant la guerre et après la guerre, ses qualités morales et ses indiscutables connaissances en matière économique, font qu’il est appelé plusieurs fois à participer au gouvernement.

Président du Conseil des ministres, du 18 juin 1954 au 23 février 1955, en seulement 8 mois, il arrive à prendre des décisions qui lui vaudront autant de haines que d’hommages.

En 2025, ses prises de position, contestées lorsqu’il était à la tête de l’État, sont unanimement saluées comme celles qu’il fallait avoir le courage et la clairvoyance de prendre.

Nommé à la tête du gouvernement, 40 jours après la défaite de Diên Biên Phu, tombé aux mains du Viêt Minh le 7 mai 1954, le Président du Conseil Pierre MENDÈS-FRANCE reste, pour l’Histoire, l’homme lucide qui a conclu la paix en Indochine, et l’homme intelligent qui a évité, à la Tunisie et au Maroc, les horreurs de la guerre d’Algérie.

Jusqu’en mai 1958, la clairvoyance politique de Pierre MENDÈS-FRANCE reste, pour les historiens, exemplaire.

Après le retour du général de GAULLE, qu’il a connu, « très bien connu même », la juste vision des choses, qui l’a si continûment caractérisé, l’a malheureusement progressivement abandonné.

Comment a-t-il pu perdre peu à peu sa grande lucidité ? Comment a-t-il pu associer sa gloire, à ceux qui n’ont cessé de crier « le fascisme ne passera pas » ?  Comment a-t-il pu voir dans le gaullisme un fascisme en devenir ? Comment, économiste reconnu, a-t-il pu se méprendre si lourdement sur la politique économique mise en place après le retour du général aux affaires ?

Le samedi 20 juin 1959, lors d’un meeting en Sorbonne, Pierre MENDÈS-FRANCE a déclaré gravement : « D’ici six ans on doit s’attendre, dans le Nord par exemple, avec le Marché commun, à la récession dans l’industrie textile, à la S.N.C.F., à une réduction du plein emploi. Quatre-vingt mille travailleurs seront réduits au chômage, cependant que cent trente mille jeunes demandeurs d’emploi seront sans travail ».

On retrouve ces propos dans l’article publié dans Le Monde le 23 juin 1959.

Dans le document signé Jean-Marcel JEANNENEY, publié dans Observations et diagnostics économiques n° 39 /janvier 1992, intitulé : L’économie française pendant la présidence du général de GAULLE, on peut lire : « Le nombre des chômeurs recensés s’abaisse de 140 000 à 92 000. Le taux d’épargne des ménages progresse fortement, de 8,8 à 14,9 % du revenu après impôts directs. Le déficit du budget de l’État, qui était encore de 2 % du PIB en 1959, n’est plus que de 1,6 en 1963. »

Malgré un redressement économique aussi évident, les opposants au général de GAULLE, continuèrent à l’accuser jusqu’à sa mort, d’avoir très mal conduit les affaires du pays, et qui plus est, d’avoir exercé son pouvoir de façon par trop personnelle.

On considère que de 1945 à 1973, année du premier choc pétrolier, la France a vécu une période économique exceptionnelle, de 30 années glorieuses, durant laquelle la condition de vie des Français s’est considérablement améliorée. C’est indéniablement aux cours des 10 dernières années de cette période bénie, que la vie des Français a été la plus enviable, marquée par la fin la guerre d’Algérie, et les progrès rapide du confort domestique.

Alors que la guerre d’Algérie était finie depuis le 19 mars 1962, alors que le général de GAULLE avait réduit le putsch des généraux à Alger en avril 1961, Pierre MENDÈS-FRANCE, Paul REYNAUD et Gaston MONNERVILLE, héritiers de la IIIe République, restés très attachés à la démocratie parlementaire, se sont montrés les plus farouches opposant à l’élection du président de la République au suffrage universel direct, assimilée à un plébiscite.

Malgré l’opposition de toute la gauche et du centre gauche, le Référendum constitutionnel français instituant l’élection du président de la République par tous les français fut voté, à 62 %, le 28 octobre 1962.

Bien sûr en 2025, plus question de revenir sur l’élection du président de la République au suffrage universel direct, plus question de revenir sur les accusations aussi infamantes qu’infondées dont a été victime le créateur de la Ve République.

Reste que, plus le temps passe, moins le peuple est consulté par référendum pour donner son avis, et moins les gouvernants se préoccupent de répondre aux demandes de leurs concitoyens, quand bien même les demandes sont parfaitement connues, et réclamées par plus de 70 % des Français.

Le suffrage censitaire a été aboli en France, il y a presque 175 ans. Les femmes votent en France depuis 80 ans. En 2008, en annulant le résultat du vote du référendum du 29 mai 2005, le parlement français a institué une forme originale de suffrage, le « suffrage censuré ».

En 2025, plus besoin de réunir le parlement à Versailles, les 9 sages du Conseil constitutionnel arrivent à censurer aussi efficacement que les 348 sénateurs réunis avec les 577 députés.

Pour combattre les décisions du général de GAULLE, ses opposants les plus déterminés n’ont pas hésité à agiter, sans vergogne, le spectre du fascisme.

Pour empêcher la droite de faire une vraie politique de droite, François MITTERRAND a agité dès 1984 le spectre du fascisme.

Bien qu’ils aient abondamment agité le spectre de la menace fasciste, les descendants du « Florentin » ont amené le PS à moins de 2 % aux élections présidentielles de 2022.

En septembre 2025, les sondages donnent jusqu’à 34 % d’intention de vote en faveur du RN.

Malgré ses états de service, dès son retour au pouvoir en 1958, et pendant les 11 ans où il est resté à la tête de l’État, le général de GAULLE n’a pratiquement jamais cessé d’être accusé de dérive fasciste, voire de fascisation du pouvoir.

Depuis sa mort, depuis plus de 50 ans, les électeurs de gauche, comme ceux de droite, se sentent régulièrement trahis par les élus qu’ils envoient siéger à l’Assemblée nationale. Ceci explique évidemment la progression actuelle rapide et continue des votes pour le RN, seul grand parti n’ayant jamais eu encore l’occasion de trahir.

Face aux dures réalités, les dirigeants de gauche ont souvent été contraints de revenir sur leurs promesses, notamment sur celles qui s’étaient avérées économiquement intenables.

Les dirigeants de droite, eux, n’ont souvent eu aucune raison objective de revenir sur leurs engagements, si ce n’est une grande peur d’être placé sur le banc d’infamie par les ligues de vertu antifascistes, associations qui se sont arrogées, depuis la Libération, le magistère moral de la vie politique française.

L’instrumentalisation et le dévoiement de l’antiracisme et de l’antifascisme, est la cause principale de la paralysie qui s’est si durablement installée dans la vie parlementaire française.

Tous les sondages indiquent que les Français souhaitent, à plus des deux tiers, que la France cesse d’accueillir plus d’émigrés qu’elle n’a effectivement les moyens de le faire, économiquement, socialement, médicalement, scolairement, et culturellement.

Le 12 septembre, un sondage indique que 75 % des Français sont favorables à l’instauration de quotas d’immigration, établis en tenant compte des pays d’origine. Le sondage précise que, parmi les électeurs déclarant voter à gauche, 56 % sont favorables à cette mesure.

Le 11 septembre au soir, interviewé sur France 2, Matthieu PIGASSE, a accusé le RN d’être responsable de la montée de la violence et de la xénophobie en France. Selon cet homme d’affaire, fier d’afficher ses idées de gauche, c’est la lepénisation des esprits qui serait la principale cause des problèmes et des tensions qui affectent le pays.

Le vote FNRN, au premier tour des élections à deux tours, ne cesse de croître. En cinquante ans il est passé de 0,75 % des voix à plus de 30 %. Des millions de Français appartenant aux classes populaires, qui votaient traditionnellement pour le PC et le PS, ont cessé progressivement de le faire pour voter massivement pour le FN-RN, soit carrément pour s’abstenir.

Toutes les études sérieuses, et toutes les enquêtes d’opinion, montrent que cette évolution est liée aux tensions culturelles, sociales et économiques, dues à l’arrivée d’un nombre considérable d’immigrés de culture d’origine musulmane, qui non seulement refusent d’accorder attention à la culture française, qui non seulement refusent de respecter les règles du savoir-vivre multiséculaires qui prévalaient en France avant leur venue, mais prétendent imposer des us et coutumes, notamment salafistes, inventés, rêvés, et surtout fantasmés.

Les salafistes pensent, souvent comme la Russie de POUTINE, que les Occidentaux, de plus en plus mécréants, deviennent des dégénérés.

Ceci expliquerait pourquoi, selon Arturo PÉREZ-REVERTE : « Une partie de l’immigration musulmane en Europe souffre d’oikophobie, la haine de l’endroit où l’on vit ».

Le banquier français Matthieu PIGASSE, lui, qui a construit sa fortune dans un environnement relevant de l’islamo-capitalisme, n’a pas hésité à écrire sur X, le 28 avril 2025, après le meurtre dans une mosquée du Gard d’Aboubakar CISSÉ par un homme, rrom chrétien, d’origine bosnienne [et non bosniaque] :

Oui, l’islamophobie d’État tue. Désigner des millions de musulmans comme des « ennemis intérieurs », hurler « à bas le voile », entretenir la confusion entre immigration, insécurité et foi : tout ceci n’attise pas seulement la haine, cela produit la violence. Le meurtre raciste de La Grand-Combe n’est pas un accident. C’est le fruit amer d’années de discours empoisonnés, dressant les uns contre les autres, hiérarchisant les souffrances, fracturant notre humanité commune.  En se taisant, responsables politiques et médias acceptent l’indicible : que certaines vies compteraient moins que d’autres. Ce silence, qui tue une seconde fois, est une faute morale. Face à ce tournant historique, notre devoir est clair : refuser la division, défendre l’égalité, rappeler que chaque vie compte autant. Nul ne doit être tué, agressé, ou menacé pour sa foi, son nom ou son origine. Opposer les cultures, les croyances ou les peuples, ne peut conduire qu’à plus de violences et de souffrances. La justice et l’égalité ne sont pas des objets de débat. Elles sont notre socle. Le monde nous regarde. Et l’Histoire nous jugera.

L’Islamophobie d’État tue ?

Dans l’article publié dans l’hebdomadaire Marianne en avril 2021, intitulé, « Islamophobie : l’invention d’un concept », l’auteur, Pierre CONESA, fait remarquer que : « La France est le pays d’Europe qui a accueilli les plus grosses communautés juive, arménienne, chinoise et extrême orientale. Seuls des musulmans ont inventé un terme propre en soutien à leurs revendications [récriminations]. Alors que le terme devrait donner lieu à examen, il limite la question à l’audit accusateur des sociétés démocratiques et non au mécanisme, inventeur du terme. Étonnant renversement de la charge de la preuve. »

Entre 2003, date de sa création, et 2020, date de sa dissolution, le collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) a réussi à imposer dans les débats traitant de l’immigration musulmane le terme d’« islamophobie ».

Le CCIF n’a cessé de soutenir que les musulmans vivant en France étaient, depuis toujours, victimes d’injustices particulières liées à leur appartenance religieuse, souffrant du regard que les Français non-musulmans portent sur eux, et de l’attitude discriminatoire que les fonctionnaires, notamment les policiers, adoptent à leur encontre.

Ainsi, depuis des décennies, les Français, dits de souches, historiquement étrangers à la culture islamique se retrouvent accusés, par les dirigeants des organisations salafistes, d’être les principaux, et presque les seuls, responsables des tensions entre les musulmans et les non-musulmans qui se généralisent dans la société française.

En 2024, le préfet des Alpes Maritimes, Hugues MOUTOUH, a publié le 4 mars les chiffres de la délinquance dans son département.

Il a donné des chiffres mettant en avant la part importante des personnes de nationalité étrangère. Le préfet a ainsi souligné que, 54,10% des faits de délinquance sur la voie publique à Nice ont été commis par des étrangers, et 53,01% à Cannes. Pour les vols à la tire, le chiffre a atteint 82% à Nice.

Le 7 août 2022, interrogé par le JDD sur le lien entre immigration et délinquance, le ministre de l’Intérieur a communiqué quelques statistiques sur la surreprésentation des étrangers dans les statistiques de la police et de la justice, avec les précautions d’usage, antiracisme oblige.

«Le petit-fils d’immigrés que je suis ne fait pas le lien entre immigration et délinquance» a d’abord répondu le ministre, avant de poursuivre tout de même en donnant des chiffres précis : «il serait idiot de ne pas dire qu’il y a une part importante de la délinquance qui vient de personnes immigrées». Ainsi d’après Gérald DARMANIN, «48 % des gens interpellés pour des actes de délinquance à Paris, 55 % à Marseille et 39 % à Lyon sont des étrangers». «Bien sûr que l’étranger n’est pas par nature un délinquant. Mais il est évident que nous avons un problème de délinquance étrangère» complète-t-il, ajoutant : «un étranger qui commet un acte de délinquance grave doit être expulsé très vite, parce qu’il crache sur le sol qui l’accueille.»

Le président de la République Emmanuel MACRON, lors d’une interview télévisée fin octobre 2022, avait lui corrélé forte présence d’immigration illégale et délinquance : « quand on regarde aujourd’hui la délinquance à Paris, on ne peut pas ne pas voir que la moitié au moins des faits de délinquance qu’on observe viennent de personnes qui sont des étrangers ».

Une affirmation que les faits et les chiffres démentiraient selon l’article publié dans Sud Ouest le 22 avril 2023 : L’immigration a-t-elle un impact sur la délinquance ? Toutes les études réfutent cette idée.

Conclusion : les Français dans leur grande majorité seraient victimes d’hallucinations collectives, d’effets d’optique, ou, comme on les soupçonne, de préjugés racistes.

Dominique de VILLEPIN écrit dans son livre Le pouvoir de dire non publié en 2025 :

Dans de grandes villes françaises, des groupuscules violents d’extrême droite défilent en masse dans les rues, au pas de l’oie, au cri de « Ni synagogues, ni mosquées ». On se bat sur les mots, cherchant à imposer l’idée d’un « racisme anti-blancs », tant le statut de victime est devenu la légitimation ultime dans la société du spectacle, et on interdit le mot d’« islamophobie », niant au passage la réalité pourtant assez évidente de l’existence dans une certaine frange de la société d’un rejet haineux de l’islam.

Chacun nourrit les fantasmes de l’autre. Chacun minore la violence de son propre camp et la justifie par celle des autres.

Le racisme anti-blancs, un fantasme, l’islamophobie, une réalité ?

Comme François BAYROU l’a rappelé en février 2002, « si on pense tous la même chose c’est qu’on ne pense plus rien ». D’où l’importance des débats et de la disputatio.

[Le 8 septembre 2025, 18 H00, P. C., Notre-Dame de la Rouvière] :  Le chroniqueur Alain DUHAMEL pris en flagrant-délit de mensonge.