N° 171 « Bojo », populiste ou so british ? That is the question !
Pourquoi the prime minister Boris JOHNSON, surnommé « Bojo » par la presse britannique, reste-t-il une énigme sur le continent ?
L’écrivain, journaliste et commentateur politique, Douglas MURRAY tente de nous éclairer dans l’entretien qu’il a accordé le 27 février à la revue Spectacle du monde.
Dans l’article N° 143 C’est dur la démocratie, mais c’est la démocratie ! on peut lire “Ce n’est pas le Parlement qui doit régner; c’est le peuple qui doit régner à travers le Parlement.” C’est d’évidence en pensant à cette phrase de Winston CHURCHILL, que Boris JOHNSON a fait campagne lors des dernières élections législatives au Royaume-Uni.
Boris JOHNSON, un pitre qui ne rigole pas avec la démocratie
[Le 5 mars 2020, 18 H00, P. C., Notre-Dame de la Rouvière] : Pour mesurer la clairvoyance exceptionnelle des journalistes français il faut relire aujourd’hui certains de leurs écrits péremptoires. Citons un article paru dans le point le 6 septembre 2019, soit 3 mois avant le raz de marée conservateur du mois de décembre (365 sièges sur 650).
Boris Johnson : l’éclatante « descente aux enfers » de « Bojo the clown »
REVUE DE PRESSE. Pour les quotidiens français, le Premier ministre a perdu beaucoup de crédibilité et aura du mal à se sortir de cette mauvaise passe.
[Le 5 mars 2020, 17 H00, P. C., Valleraugue] : Depuis juin 2016, tous les commentateurs politiques nous ont affirmé que s’il y avait un nouveau référendum le NO l’emporterait. La question que Boris JOHNSON a posé aux électeurs en décembre 2019 était on ne peut plus clair. La réponse a été on ne peut plus clair. Game over !